réponse à Vanessa sur la mise en place de l'aide personnalisée

Publié le par isa

Je vous remercie de l'attention que vous avez accordée à mon message. Je m'en vais appliquer vos précieux conseils, rassurée. Par ailleurs, j'en profite pour vous poser une autre question, mais dans un autre domaine, cette fois-ci : comment envisagez-vous les heures de soutien, en remplacement du samedi ? Je suis nouvellement directrice, et amenée , à ce titre, à proposer une organisation. Avez-vous déjà des pistes de travail? A bientôt Vanessa

 

Comme promis dans ma réponse, je me suis penchée sur la mise en place de l’aide individualisée préconisée par la nouvelle organisation de l’école.

Je suis perplexe par rapport à cette mise en place dés la petite section, la stigmatisation est un risque dont il faut se préserver et il me semble que la relation avec la famille est primordiale, il va falloir réfléchir à ce que l’enseignant va dire des difficultés de leur enfant. Je ne vois pas une mise en place avant la fin du premier trimestre, il faut un vrai temps d’observation et en cela , je suis contente de voir que ce que je faisais depuis de nombreuses années va petit à petit rentrer dans les habitudes des enseignants ( fiche d’observation). J’ai trouvé un lien qui donne une vision organisée, concrète et claire de ce que peut être cette aide en maternelle. Enfin, je pense que la notion d’équipe enseignante prend tout son sens dans l’élaboration des projets de soutien et qu’enfin dans des écoles, les personnes vont pouvoir parler de leurs difficultés et échanger leurs pratiques. Le débat est lancé ! Comment vivez –vous cette nouvelle organisation et avez-vous des expériences à nous faire partager ?

lien trouvé: 

http://web-ia.ac-poitiers.fr/ia16/telecharger/pedago/maternelle/fiches/Aide_personnalisee_maternelle.pdf

 

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Publié dans organisation

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K
<br /> <br /> Bonjour<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> beaucoup de profs par ici, moi je ne suis qu'une maman, et je donne mon avis. Je trouve cela néfaste d'introduire cette aide dès la maternelle; laissons grandir nos enfants sans les stigmatiser<br /> de cette façon dès le plus jeune âge! ils auront bien le temps de devenir de bons élèves; A 4ans ils sont encore petits. prendre les moins parleurs pour l'AP, quelle duperie! Ne jugez pas les<br /> enfants, contentez vous de leur apprendre à lire, à écrire, à se sociabiliser le temps venu, ne forcer rien, c'est destructeur. A chaque enfant sa personnalité. Le monde est varié, n'en<br /> faites pas des moutons sous prétexte d'en faire de bons élèves... Certains propos me choquent, vraiment. Suivre une directive bêtement... mieux vaudrait réfléchir davantage, se concerter avec les<br /> parents, échanger sur la question. La maternelle pour préparer à l'apprentissage des fondamentaux en Cp, rien de plus. Pauvres enfants! oui je suis en colère contre les profs qui ne<br /> font que suivre à la lettre des directives. Et arrêter de prendre les parents pour des gens passifs qui n'en ont rien à faire de l'école...au contraire; Encore faut il avoir droit à la parole.<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> J'entends bien votre colère Karine et je peux comprendre que vous ayez votre point de vue, ici sur ce blog , chacun peut l'exprimer. Votre position vient appuyer l'idée qu'il ne faut pas<br /> vouloir pointer ou trouver à tout prix des élèves à aider précocément, que cette démarche peut être stigmatisante pour la famille qui le ressent difficilement ( je suis tout à fait d'accord) et<br /> pour voie de conséquence l'enfant. Si vous avez parcouru le blog, vous avez certainement trouvé dans mes propos un écho à vos remarques, et notamment concernant la relation aux parents. Depuis<br /> que j'ai ouvert ce blog , je défends ardemment la relation de confiance et de respect, ce que j'ai toujours pratiqué et qui m'a donné de grandes satisfactions professionnelles. C'est la non<br /> compréhension des uns et des autres qui donnent des réactions comme la vôtre. Je ne sais pas ce que vous avez vécu avec votre ou vos enfants mais je souligne que vous avez rencontré des<br /> déceptions. Je crois fermement au changement de regard les uns sur les autres pour avancer dans la voie où les enfants auront tout à gagner. En restant chacun dans un camp et en dénigrant<br /> l'autre, on n'aide personne. J'espère que d'avoir exprimé votre point de vue vous a aidée à soulager votre colère.<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> <br /> Bonjour Isa,<br /> <br /> <br /> Nous commençons l'Ape la semaine prochaine. Avec mes collègues, nous la destinons en début d'année aux moyens et aux grands. Mes collègues ont dès à présent pu relever certaines difficultés<br /> langagières et notamment la peur de prendre la parole en grand groupe ainsi qu'en petit groupe.  Nous sommes 3 enseignantes. Chaque groupe constitué recevra ce soutien langage en début de<br /> matinée, et nous, enseignantes, nous tournerons sur la semaine sur chaque groupe. Ainsi, nous avons opté pour une approche en équipe des élèves. Sur la semaine, nous travaillerons toutes la même<br /> compétence mais sous un autre angle : atelier langage sous forme de débat, atelier langage à partir des coins jeux......L'an dernier, nous avions chacune des groupes distincts ce qui a engendré<br /> peu de communication entre nous, cette année, nous interviendrons chacune notre tour devant les groupes. Cela permettra alors de se concerter en cours de route pour faire le point et décider<br /> quelle voie prendre.<br /> <br /> <br /> Dans l'année, j'envisagerai de proposer cette aide à des petits en particulier les enfants non francophones.<br /> <br /> <br /> Je te remercie pour tes articles sur les "faibles-parleurs" car je m'appuie sur eux pour mes sances Ape.<br /> <br /> <br /> Bon week-end<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> merci beaucoup pour cet éclairage et ce fonctionnement.<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> ne sente = se sente<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Bonjour Sophie,<br /> <br /> <br /> Sans te mettre tes collègues à dos, n'y a-t-il pas moyen de communiquer à l'inspection que tu prendras tous les enfants tour à tour. Si j'ai bien compris, jusqu'à maintenant, c'est une<br /> option "qui te plait" et qui s'insère dans le fonctionnement de l'école et "on" t'a dit que l'inspectreur n'accepterait pas. Y a-t-il un précédent connu d'un refus de l'inspection d'une<br /> telle organisation? t'ont-elles dit cela parce qu'elles n'envisagent pas qu'un inspecteur puisse accepter?<br /> <br /> <br /> Evidemment, je ne souhaiterais pas avoir à prendre mes petits en AP, la journée d'école est déjà assez longue. Les difficultés (d'ailleurs peut-on parler de difficultés?) en petite<br /> section en début d'année ne sont evidemment pas des difficultés d'apprentissage, elles viennent du fait que l'enfant ne comprend pas ce que l'école met en place pour lui. Et pour aider l'enfant à<br /> vraiment entrer à l'école, le mieux est d'en parler avec les parents. Donc prendre les enfants de petite section en AP ne remplacera jamais le dialogue avec les familles, à mon sens plus efficace<br /> pour que l'enfant ne sente mieux à l'école et puisse devenir élève.<br /> <br /> <br /> Bon courage pour rester patiente et diplomate,<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Ne te mets surtout pas tes collègues à dos crois moi c'est la pire des choses à faire (cela ma valu un ulcère à à peine 30 ans!) ne pointe pas non plus ton école à l'IEN c'est encore pire.<br /> <br /> <br /> Non ravale pour cette année ce que tu penses et suis le mouvement en faisant au mieux avec ce que tu as. Si tu comptes rester dans cette école continue de creuser, de parlementer, de discuter<br /> l'air de rien avec tes collegues pour les amener peut-etre à changer d'avis. Sinon prends ton mal en patience, malheureusement il est parfois difficile de faire bouger les choses même dans<br /> l'intêret des enfants.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je ne cherche pas à te démoraliser ou à t'aiguiller sur une mauvaise route juste à te rendre la vie plus facile en tentant quand même de faire au mieux pour les enfants. Cette AP avec tes petits<br /> non-francophones va quand même leur servir et te servir pour le reste de l'année et de leur scolarité, à toi de rendre ce moment attractif (n'oublie pas la marionnette c'est magique).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Par contre ce que je ne comprends pas dans votre AP, chacun(e) se débrouille avec SES élèves de SA classe ? comme cela est dommage,  notre IEN lui est pour que les groupe des enfants ne<br /> soient pas forcément dans leur propre classe. Bin oui si un enfant a des "difficultés" un autre professionnel ca peut être plus facile, car chacun a ses sensibilités et ses facons d'amener les<br /> choses. quand je recois les GS ou les MS, ils sont super contents de revenir dans la classe des PS (ce qui est quand même gratifiant, ils ont donc passé un bon moment en PS)<br /> <br /> <br /> En tous ca courage à toi.<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Je viens partager avec vous la suite de mes interrogations concernant l'AP. Je pense avoir suivi les conseils d'Isa et avoir été diplomate, ayant fait part à mes collègues de mes doutes sur<br /> l'opportunité de la mettre en place en PS  3 semaines après la rentrée (alors que beaucoup -les enfants non-francophones qu'il s'agirait de prendre en charge en particulier- ont du mal à<br /> trouver le rythme, à comprendre ce qu'on leur veut dans ce lieu si nouveau et pleurent encore beaucoup). J'ai expliqué aussi que distribuer aux parents (même en expliquant) , un document de prise<br /> en charge pour l'AP sur lequel est écrit: "Votre enfant a des difficultés scolaires passagères...." ne me semblait pas très opportun en début de PS. Je n'ai pas été entendue, chacune campant<br /> sur ses certitudes, m'a-t-il semblé. Mon autre collègue de PS (T1 elle aussi) les a distribués ce matin, sans état d'âme, et cela s'est bien passé, m'a-t-elle dit. Mais je ne pense pas<br /> que les parents aient eu le temps de lire et de réaliser...<br /> <br /> <br /> J'avoue avoir eu un peu de mal à rester diplomate (j'ai fait un gros effort !) lorsque le reste de l'équipe m'a répondu que "de toute façon, à cette heure là, les enfants sont dans<br /> la cour et ne font rien, donc ils sont mieux en classe!". J'ai expliqué - diplomatiquement j'espère- qu'il me semblait que pouvoir enfin courir, sauter, crier, rencontrer les autres enfants<br /> de l'école, inventer des jeux pour des enfants de 2 ans et demi/3ans... cela ne me semblait pas "rien faire" . J'ai eu l'impression de me retrouver face à un mur...de silence! <br /> <br /> <br /> J'ai proposé ensuite de prendre tous mes PS en AP, jusqu'à la Toussaint, pour les connaitre mieux: impossible, l'IEN refuse ce genre d'arrangements m'a-t-on dit.<br /> <br /> <br /> J'ai donc à nouveau proposé mes services aux autres collègues pour les aider à prendre en charge leurs élèves en AP. Personne n'a besoin d'aide!<br /> <br /> <br />  Mon message peut paraitre un peu virulent car je résume plusieurs moments, mais je pense être quelqu'un de plutôt ouvert et conciliant, avec l'envie de travailler en équipe et de réfléchir<br /> ensemble...Quelle solution? 1.Faire comme les autres -distribuer ce papier, prendre de force mes élèves non-francophones et larmoyants en AP, à l'encontre de tout ce que je pense et<br /> ressens - 2.Me mettre tous mes collègues à dos en affirmant mon désaccord et en demandant une nouvelle réflexion collective, visiblement mal venue - 3.demander conseil à la<br /> conseillère péda (je suis T1) en pointant du doigt l'école, l'équipe et en me mettant aussi tous mes collègues à dos. -4. Me mettre "hors la loi" pour cette 1ere période, en ne faisant pas<br /> d'AP mais en évoquant la possibilité de faire de l'auto-formation, mentionnée dans la circulaire de 2008 sur l'AP: en quoi cela consiste-t-il, comment en justifie-t-on?...<br /> <br /> <br /> Sophie...qui réfléchit...beaucoup trop?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> que penses-tu des choix de tes collègues, quel est leur intérêt dans ce choix et comment comprends-tu qu'ils refusent ta façon de voir ?<br /> <br /> <br /> ses questions ne sont nullement intrusives, simplement, je crois qu'il faudrait que tu changes ton angle de vue pour aborder ton problème différemment. Je te propose d'y réfléchir et on<br /> se reparle ensuite.<br /> <br /> <br /> bien entendu, je comprends toujours ton désarroi, mais je pense qu'il faut avancer plutôt que se figer sur une seule attitude, réfléchir à la place de l'autre permet (en général) de mieux<br /> l'aborder.<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Sur les conseils (directives ) de l'inspectrice venue me voir...j'ai mis en place l'AP avec des MS de ma classe et je dois dire que ce fut spectaculaire : il s'agissait d'enfants petits parleurs<br /> ou ayant des difficultés en langage. Après un petit goûter très convivial, nous avons lu, raconté des histoires ; joué avec des marionnettes, fait différents jeux de vocabulaire... et les<br /> résultats m'ont étonnée. Mais surtout, un lien très privilégié s'est établi avec ces enfants et a permis le reste. Un vrai dialogue s'est établi avec les parents qui osaient poser des questions<br /> ou parler à la fin de ces séances. Je précise que je prenais les enfants une fois par semaine et que j'avais donc deux groupes différents. Cela m'a permis de mieux les connaître : j'ai beaucoup<br /> apprécié et je pense le reconduire cette année après la Toussaint ou après Noël même si je partage tout ce qui a été dit au sujet de cette aide personnalisée.<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> Bien entendu et fort heureusement.<br /> <br /> <br /> as-tu le sentiment que cette approche pédagogique a eu des conséquences sur ta pratique ? sur tes relations aux parents ( les autres) ?<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> Re-bonjour et merci pour vos commentaires et votre compréhension des choses. Je trouve effectivement qu'on devrait être aussi formés pour mieux comprendre les parents et l'image qu'on leur<br /> renvoie de leur enfant. Depuis le début de l'année, je fais extrêmement attention à cela (ayant vécu une expérience difficile avec mon propre fils en PS). Les commentaires de certaines de mes<br /> collègues (toutes sans enfant) sur les parents me heurtent pas mal en ce début d'année...Il me semble qu'ils sont loin d'être nos ennemis et ne demandent eux aussi qu'à être rassurés! Pour<br /> en revenir à l'AP, je vais essayer de revenir à la charge auprès de mes collègues mais je crains vraiment de ne pas être entendue. Quant à l'autoformation, je vais me pencher là-dessus, mais<br /> notre hiérarchie est très...enfin je ne voudrais pas avoir de problèmes dés le 1er mois...A la lecture de vos messages, une idée m'est venue: prendre tous mes petits, 2 fois 30mn chacun jusqu'à<br /> la Toussaint, par petits groupes de 4. Cela me permettrait ainsi de faire mon AP, tout en ne stigmatisant personne et en n'effrayant aucun parent, de mieux  connaitre mes 31 élèves, et de<br /> travailler le "devenir élève" avec tous.  Je sais que l'AP n'est pas faite pour ça. Mais je peux peut-être arguer qu'être 31 cela représente une forme de difficullté pour trouver sa<br /> place d'élève en début d'année...Et pour les enfants, cela ne ferait que 2 X 30 minutes de classe de plus jusqu'à la Toussaint. Qu'en pensez-vous? Merci de votre aide!<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> je trouve que ton idée est excellente, d'autant plus que le langage en petit groupe est à mettre en avant aussi, ne t'éloigne pas de ton équipe enseignante, sois diplomate, il y a<br /> sûrement des explications au repli et à la défiance envers les parents, cherche à comprendre, tu les aideras mieux ainsi, ce qui est important dans un groupe , c'est de pouvoir confronter des<br /> points de vue, être capable de s'écouter et ne pas juger trop vite dés lors que les idées divergent.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> un autre point de vue ...... j ai testé avec mes petits non parleurs en petits groupes de 2 ou 3, et cela a débloqué les situations , j ai entendu leurs voix pour la 1 fois , par la suite ils ont<br /> osé prendre la parole en petit groupe dans la classe, j ai pris un temps pour expliquer aux parents ce qu'on allait faire et le pourquoi ...donner confiance , ne pas avoir peur du regard de<br /> l'autre ...oser le maitre mot !!!!!! , pour ces petits qui ne parlent pas ou très peu français ( créoles ou autres) c'est très porteurs. je réitère cette année avec une réflexion pour y inclure<br /> les parents ( en accord avec mon IEN )à partir du moment ou il y a un projet quand a la durée de la journée ils font la sieste et le créneau de 16h semble être propice aux apprentissages selon<br /> certaines études <br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> que des expériences sur le langage avec les parents se multiplient serait une trés bonne chose,de plus ils pourront prendre plaisir à partager avec leur enfant un moment particulier, au<br /> niveau du lien parent-enfant c'est extrêmement bénéfique.<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> nous, nous avons opté pour des jeux de société. Par contre les PS sont exclus de cette aide qui d'après ce que nous a dit notre inspecteur ne concernait que les enfants à partir du cycle 2 (pour<br /> les MS il faut axer le langage)<br /> <br /> <br /> Nous commençons avec les GS par groupes de 4-5 enfants 1 semaine avec 1 maitresse (4 maitresses donc 2 fois 1 semaine pour chaque groupe, la derniere semaine servant de bilan).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Dans notre école la problématique était qu'il était impossible que "mon enfant" puisse être en difficulté, nous avons contourné le problème en faisant participer tous les enfants à cette aide. En<br /> effet apprendre les règles des jeux et parler en petits groupe est bon pour chacun et cela chaque parent en a conscience et l'accepte facilement.<br /> <br /> <br /> Le dernier trimestre est réservé aux MS qui attendent leur tour avec impatience, je pense que l'on a dévoyé l'aide individualisée mais je persiste à dire et à penser qu'en maternelle l'aide<br /> individualisée est une aberration mais c'est mon devoir et mon rôle de fonctionnaire de faire au mieux, donc je m'execute, bon en faisant ce que je pense être le mieux pour les enfants.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mon unique souci c'est que je suis certaine que cette aide ne sert malheureusement pas assez et ne va pas résoudre les difficultés scolaires, qu'elle va les stigmatiser et que cela va retomber<br /> sur les instits pas tard!!! :)<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> Je reste persuadée qu'une aide individuelle pour un élève en difficulté d'apprentissage avérée est la meilleure des réponses, ce que je conteste, c'est l'obligation de repérer les élèves<br /> de manière précoce sans leur permettre de s'adapter ,c'est le rapport aux familles qui devrait susciter une formation spécifique " ( un petit exemple personnel: une de mes amies a sa fille qui<br /> vient de rentrer en petite section, au bout de trois jours de classe ,la maîtresse dit à la maman: " votre fille est en souffrance affective" parce que la petite pleure encore, comment une maman<br /> peut-elle recevoir cela ?), on voit bien là les limites de nos propres ressentis, certaines paroles peuvent être lourdes de conséquence. Ce qu'on veut tous , c'est la réussite de nos<br /> élèves, de nos enfants, posons nous la question de manière personnelle: " Comment et à quel moment aurais-je aimé qu'on me signale que mon enfant était en difficulté ?", c'est une première chose,<br /> ensuite il y a l'image négative associée au soutien , pourquoi penser que cette aide est dévalorisante pour celui qui la reçoit, nous sommes dans un système qui pointe l'échec et qui exclut,<br /> voilà pourquoi personne n'a envie de sortir du rang. Quand les familles vont chercher de l'aide en dehors de l'école, et qu'elles sont prêtes à payer cette aide, nous trouvons cela injuste et<br /> nous disons, il faut aider ces familles, c'est louable sauf que nous continuons à fonctionner de la même manière, celle qui les a poussés à aller voir ailleurs. Changeons notre rapport aux<br /> familles, ouvrons leur nos portes et acceptons le dialogue, je suis prête à parier que nous diminuerons l'échec scolaire par ce biais, bien mieux qu'en pointant des difficultés parfois<br /> imaginaires parce qu'il faut justifier notre présence sur ces heures d'aide individualisée.  Je m'emporte  mais cela me tient à coeur, je ne veux pas que toutes celles et tous<br /> ceux qui se démènent dans leur aide individualisée se sentent coupables, je dis juste que le dialogue autour de ces aides doit amener à la réflexion et à une plus grande prise en compte des<br /> conséquences. Par contre, je le redis, l'aide individualisée ( pour moi c'est avec un seul élève) permet positivement la lutte contre l'échec scolaire. c'est dans un rapport unique que<br /> l'élève va se sentir soutenu, encouragé et qu'il va pouvoir retrouver la motivation.<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> <br /> Bonjour, tu trouveras dans le BO n°32 du 28/08/2008 un paragraphe qui stipule que si le temps consacré à l'aide perso ne couvre pas les 60 heures, le temps restant est utilisé pour la formation<br /> professionnelle des enseignants en dehors du temps de présence des élèves. Ce peut être des animations péda supplémentaires ou à défaut de l'auto formation ( renseignements pris<br /> auprés d'IEN). Evidemment, on doit pouvoir le justifier. Amicalement<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Alain, peux-tu me donner un lien vers les textes dont tu parles (sur l'autoformation à la place du soutien) ? merci.<br /> <br /> <br /> ça peut m'aider à justifier auprès de ma hiérarchie.<br /> <br /> <br />  Merci.<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Bonjour! L'aide personnalisée est un pur scandale dans le principe même de l'allongement de la journée de classe. De plus, son instauration "flingue" les RASED. Il faut également se poser la<br /> question de savoir si un enfant qui commence les apprentissages scolaires est censé présenter des difficultés quand on sait que les élèves de petite section mettent parfois plusieurs mois avant<br /> de s'installer dans les apprentissages. Je le remarque d'ailleurs chaque année; les élèves changent et "basculent" ( j'appelle cela comme ça) autour de mars-avril. Aussi, stop au remplissage de<br /> l'aide perso pour faire plaisir à la hiérarchie; s'il n'est pas nécessaire, utilisons ce temps pour de l'auto-formation, c'est prévu dans les textes et opposons des arguments revendicatifs tels<br /> que des classes moins chargées ou des enseignants surnuméraires.<br /> <br /> <br /> Bon courage à tous<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> merci Alain pour tes remarques, je te rejoins complètement, d'autant plus que je pense que les petits "repèrés" en petite section ( et il y en a, il ne faut pas se cacher la réalité) ont<br /> vraiment besoin d'une aide spécialisée, en croyant bien faire, on peut même passer à côté d'une prise en charge hautement bénéfique et dont nous n'avons pas les compétences.<br /> <br /> <br /> <br />
V
<br /> <br /> Bonjour! Je voulais juste dire à Sreikh que je trouvais aussi comme elle aberrant de faire de l'AP à des PS ... Je pensais même que l'AP n'était proposée qu'à partir de la MS (mais faut croire<br /> que non...) Pour ma part, ( comme te le propose  Isa) je vais prendre des élèves d'élémentaire et je pense que tu peux effectivement le proposer à tes collègues. En plus en début d'année<br /> certains enfants d'élémentaire ont vraiment besoin d'un coup de pouce, juste pour se remettre dans les rails... Tu dois pouvoir faire entendre tes arguments, courage!<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Bonsoir ou bonjour à tous! (cette rentrée me rend insomniaque!). Voila mon souci: je suis T1 en PS. Nous avons eu la réunion de mise en route de l'aide perso ce soir (on doit commencer<br /> vendredi...). De mon point de vue, débuter l'aide perso dès fin septembre en PS c'est absurde: il faut déjà que les enfants (et les parents) aient pris leurs repères, leur rythme. Mes<br /> collègues (y compris de PS) n'ont pas été de cet avis, pour des raisons purement mathèmatiques j'ai eu l'impression: il fallait tant d'enfants en AP dans l'école, donc pas assez de<br /> MS-GS pour toutes les instit (c'est une grosse école)! Je n'ai pas réussi à faire entendre mon point de vue de T1...Du coup, chacune doit prendre des enfants de sa classe. J'ai plusieurs enfants<br /> non francophones et je me dis que 30mn de langage en tout petit groupe, pourquoi pas...mais tous les jours, c'est énorme! Je suis très très très embêtée et ne sais pas comment présenter la chose<br /> aux parents, 3 semaines après la rentrée. D'autant qu'on doit leur faire signer un papier pour l'aide perso, qui dit texto: "votre enfant présente des difficultés scolaires passagères..." En PS,<br /> 3 semaines après la rentrée!! Que puis-je faire? Merci pour vos conseils!<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> bonjour Sreikh, rassure toi tu as toute ma sympathie, je suis personnellement contre cette aide personnalisée qui montre du doigt des petits en construction. Je ne pense pas que tes<br /> collègues auraient le même discours si un de leurs propres enfants de 3 ans était concerné par ce marquage. Je suis même choquée de cette compatibilité, il faut tant d'enfants et tant pis si<br /> cela ne correspond à rien de tangible. Que dire ? Tu n'as pas réussi à faire reconnaître ton point de vue, je pense que tu n'as pas cru à ta légitimité, or parfois une nouvelle personne dans une<br /> équipe peut faire réveiller des consciences qui s'étaient assoupies dans des obéissances administratives pour ne pas avoir à s'interroger sur le bien-fondé de leurs actes. Personnellement, j'ai<br /> toujours fait du soutien avec les GS l'après midi, et du soutien personnalisé dans ma classe avec les élèves en difficulté pendant les horaires d'école et je crois que pour les familles c'est<br /> mieux ainsi. Alors que faire ? Redire ton opposition et proposer ton aide en élémentaire par exemple ou accepter en proposant une aide personnalisée tournante qui toucherait tous les élèves de ta<br /> classe, du coup, tu pourrais le présenter de cette façon aux parents. De toutes les manières, il faut beaucoup de diplomatie et d'empathie pour avertir les parents, ce n'est pas parce que le<br /> parent semble d'accord qu'il ne souffre pas intérieurement de voir son enfant montré du doigt, et cette souffrance n'est pas sans conséquence sur son enfant. Je pense que nous faisons fausse<br /> route sous couvert de donner de l'aide, méfions nous parfois de nos bonnes intentions !<br /> <br /> <br /> <br />
G
Bonsoir à tous,<br /> Ces heures de soutien font vraiment couler beaucoup d'encre... pour l'instant dans notre circonscription nous n'avons toujours pas l'aval de notre IEN sur l'organisation de ces heures. La proposition que nous avons faite en juin, est de faire 1/2 heure de soutien les lundi, mardi, jeudi, vendredi à partir de la période 2 de 17h à 17h30. Comme dans notre école nous n'avons que des TPS, PS et MS et pas d'élémentaire à proximité (eh oui çà existe...)cette aide sera destinée aux enfants de PS et MS, notamment ceux qui sont non francophones (environ 3 ou 4 par classe). Un bilan sera fait toutes les 3 semaines. Voilà la proposition mais sera-t-elle acceptée ? Nous n'en savons rien car dans notre département nous ne savons pas si le soutien est prévu pour le cycle 1.
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I
<br /> oui effectivement et par vos commentaires nous voyons bien la grande diversité d'organisations, de mises en route, de conceptions de cette aide. Intéressant, trés intéressant<br /> <br /> <br />
C
Bonjour à tous<br /> Je viens exposer la manière de fonctionner de notre école en ce qui concerne ce fameux soutien. Les heures de soutien auront lieu le mardi et le jeudi soir de 16h45 à 17h45. Mais elles ne concernent que les GS dans un premier temps (ainsi que l'élementaire bien entendu), puis dès novembre, il pourra concerner les MS si nécessaire... Mais aucun soutien pour les PS et je trouve ça très bien, car on sait bien qu'à cet âge il faut plus ou moins de temps pour progresser dans un domaine ou un autre... On ne peut pas vraiment parler d'élèves en grosses difficultés en PS. Donc pour moi et ma collègue de MS, nous interviendront en soutien aux cycles 2 et 3, voire ensuite en GS si le besoin s'en fait sentir.<br /> Voila pour notre organisation. <br /> Je suis d'accord avec isa quand elle dit qu'il y a eu précipitation, car rien n'est réellement clairement défini, nous tatonnons avec les collègues, je pense que cette année sera assez floue à ce niveau, nous testerons des choses et nous verrons bien<br /> A bientôt<br /> Cécile
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I
<br /> Il arrive Cécile d'avoir des élèves en grande difficulté en PS , mais ceux ci relèvent du réseau d'aide, des personnes qualifiées, formées pour ce type d'élèves.<br /> <br /> <br />
D
nous avons choisi dans un premier temps de recevoir tous les enfants de ps par petits groupes afin de mieux les connaître, le groupe classe ne permet pas d'échanges assez longs et confortables avec eux.<br /> ensuite nous cernerons mieux quels sont les enfants à aider en priorité<br /> il ne me semble pas idiot de faire du soutien en ps, j'ai par exemple une petite fille qui ne parle pas français... donc déjà pas mal de difficulté pour elle et pour moi dès la rentrée puisqu'elle ne communique pas<br /> j'ai aussi d'autres enfants qui relèveraient d'une aide très personnalisée .. il n'y a pas encore eu d'équipe éducative pour eux mais ... il y a de grandes chances ...<br /> JE NE VEUX PAS LES STIGMATISER DU TOUT, mais d'autre part est ce raisonable de faire comme si de rien n'était... de ne pas mettre des mots sur leurs difficultés qui sont certaines... plus petit on agit, peut être que mieux c'est pour eux, à quoi ça peut servir de laisser s'installer des difficultés... ou de les laisser se renforcer les bras croisés, pour ne pas les stigmatiser ? Voilà les questions que je me pose.
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I
<br /> Bien-sûr que pour des enfants étrangers ce type de soutien semble opportun, ce que je dis c'est qu'il faut être trés prudents, les parents reçoivent les difficultés de leurs enfants trés<br /> fortement et cela n'est pas sans conséquence sur ces derniers , pour les élèves qui relèvent des réseaux d'aide, il est normal d'alerter les parents et je n'ai jamais fait comme si de<br /> rien n'était, au contraire, il y a un accompagnement des parents à mener dans cette démarche d'acceptation, de façon à ce qu'ils comprennent que nous voulons les aider et que le plus tôt sera le<br /> mieux, ils y consentent même s' il y a de la culpabilisation dans l'air pour eux. Je n'ai pas d'avis tranché sur le sujet ( sauf que je trouve que dés le mois de Septembre être en capacité de<br /> dire qui relève du soutien en PS me paraît bien présomptueux), je me dis qu'il faut que les mentalités changent pour que les parents et par conséquent les enfants ne se sentent pas pointés du<br /> doigt, c'est un chemin sensible à mener.<br /> <br /> <br />
A
Tout ceci me semble un peu fou et j'ai l'impression qu'on met la charrue avant les boeufs ! Personnellement, je fais confiance à mes élèves et je pars du principe qu'ils arriveront d'eux même à mobiliser leurs propres richesses afin de grandir et d'apprendre au mieux, à leur rythme propre. En les forçant les choses, je pense qu'on laisse de côté la confiance qu'on peut leur faire et qu'on s'auto investi d'un pouvoir qui n'est pas le nôtre. A moins de se trouver face à un élève handicapé pour lequel il faut effectivement souvent hyper-stimuler, les enfants, chacun à son rythme progressent et apprennent grace aux situations riches et stimulantes qu'on leur propose. Chacun d'entre eux y trouve son compte, à sa manière qui est parfois même totalement différente de celle que l'on avait prévue, et tant mieux.<br /> Pointer ainsi du doigt les difficultés des enfants de maternelle me semble dangereux dans la relation pédagogique, ainsi que pour l'estime que les enfants et leurs parents vont se porter.<br /> Je suis par contre tout à fait d'accord que des séances en tout petit groupe pour les élèves de cycles 2 et 3 pourront être efficaces afin de les aider ponctuellement concernant des difficultés bien ciblées par le maître. Dans notre école, nous avons prévu de mettre l'accent sur la méthodologie, sur des séances pendant lesquelles nous les aiderons à apprendre à apprendre en leur donnant mille et un trucs afin de les aider et de rendre leur tâche d'écolier plus aisée. <br /> Je dois dire que personnellement, retourner enseigner avec des grands (j'avais des cm avant les ps-ms) me fait grand plaisir, d'autant plus que ces grands élèves sont d'anciens élèves que j'ai toujours grand plaisir à rencontrer quand ils viennent dire bonjour à leur 'vieille maîtresse'!!!<br /> Voilà, c'est peut être un peu confus mais c'est le sentiment que j'ai eu en lisant vos commentaires, je me dis que j'ai de la chance de travailler dans la circonscription où je me trouve.<br /> Anne Laure
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I
<br /> Je suis en accord avec ce que tu écris. Je pense néanmoins aux collègues à qui on impose de faire ce soutien pour des PS et à qui on ne demande pas l'avis puisque les décisions sont<br /> prises dans les instances supérieures selon les IA semble-t-il.<br /> <br /> <br />
F
Dans notre école, l'aide est prévue le matin de 8h15 à 8h45 et ne concerne dans un premier temps que les enfants de GS puis un peu plus tard, en novembre, les enfants de MS, mais certainement pas les PS (inspecteur OK). Cette aide ne sera axée que sur le langage. <br /> C'est incroyable qu'il existe de telles différences d'une circonscription à une autre !
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I
<br /> Je suis tout à fait d'accord avec toi, mais cela prouve qu'il y a eu précipitation pour mettre en place ce soutien et qu'il n'y a pas de directives précises.<br /> <br /> <br />
E
en ce qui concerne mon école, ce sera chaque soir après les cours (de 16h30 à 17h, cela est imposé par l'IA) avec des groupes de 2 à 6 élèves de la PS à la GS, à partir du 22 septembre<br /> Quelqu'un aurait-il déjà une idée quant à la demande d'autorisation des parents? existe il un document venant du ministère?<br /> Merci<br /> Estelle
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I
<br /> je reste trés trés perplexe en ce qui concerne des décisions de soutien aussi rapides en PS. J'imagine que vos critères portent sur le langage, mais comment juger de l'opportunité d'une aide quand<br /> les élèves sont dans un processus d'adaptation qui perturbe leur comportement habituel. quelle communication allez vous avoir avec les parents ? Je m'interroge et te demande à toi Estelle, mais je<br /> suppose que tu ne dois pas être la seule dans ce cas.<br /> <br /> <br />
V
Isa, <br /> Désolée si je n'ai pas été très claire. <br /> Je voulais dire que nous prendrons de 3 à 5 élèves en soutien. Mais chaque enseignant doit s'occuper des élèves de sa classe et non de ceux des autres classes.<br /> Violaine
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I
<br /> quand commences -tu ?<br /> <br /> <br />
A
Bonjour,<br /> A lire vos commentaire, je reste perplexe car en lisant les directives du ministère, tous les membres de notre équipe ont compris que l'aide personnalisée ne concernait les enfants qu'à partir de la grande section et que les maîtres de cycle 1 venaient en soutien aux maîtres des cycles 2 et 3 pour gérer le soutien. Les directives sont elles différentes d'une académie à l'autre ?<br /> Anne Laure
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I
<br /> et bien voilà une autre version de l'aide personnalisée, les directives du ministère ne sont pas aussi explicites que cela ( j'ai cherché), c'est bien pourquoi je lance ce débat, le lien que j'ai<br /> mis en ligne provient de l'académie de Poitiers et il est bien question de maternelle, de groupes restreints lorsque les enfants sont plus jeunes ......<br /> <br /> <br />
V
Vanessa,<br /> Dans notre école, l'aide est planifiée tous les jours de 12h50 à 13h20. Ceci doit être fait en accord avec la mairie, car les enfants concernés doivent pouvoir manger au 1er service de cantine.<br /> Notre inspecteur nous a précisé que nous devions prendre chacun des enfants de notre propre classe, et s'ils sont tous "bons", il faut prendre les moins bons des meilleurs....<br /> Cela doit commencer début octobre. Pour ma part,je pensais prendre les enfants dont j'avais repéré des difficultés de langage ou ceux qui ne parlaient pas du tout. En ce qui concerne les autres domaines, il me semble difficile de les évaluer en si peu de temps.<br /> Violaine
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I
<br /> Que veux-tu dire Violaine par "chacun des enfants de notre propre classe", est-ce que vous faites un soutien à tous les élèves et dans ce cas, comment l'organisez vous, puisqu'il est dit que<br /> plus les enfants sont jeunes et moins les groupes doivent être importants ?<br /> <br /> <br />
C
un grand merci je vais voir tout ça car nous sommes 2 instits en mat
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E
Merci pour le lien car cela va m'aider pour mettre en place cette organisation .<br /> Si des collègues ont des idées pour le moment de cette aide,...merci .<br /> Car nous pensons que rallonger la journée n'est pas bon ;le midi ,les petits déjeunant presque tous à la cantine ,dorment après le repas...?le mercredi ,activités artistiques et sportives sur la commune...Je pense que nous allons opter pour le midi mais à contre-coeur.Et vous?
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I
<br /> Je ne peux que répéter votre question ,Evelyne, "et vous" ? en m'adressant aux autres collègues puisque je ne suis plus dans l'enseignement depuis un an déjà.<br /> <br /> <br />